Résultats de l’enquête sur le don d’organes auprès des étudiants en médecine de la Faculté Lyon Sud

Résultats de l'enquête sur le don d'organes auprès des étudiants en médecine de la Faculté Lyon Sud. 89 étudiants ont répondu aux questions de France Transplant.

Echantillon : 89 personnes

Vous êtes

89 réponses

Question 1 : Globalement, vous diriez que vous êtes…

89 réponses

Question 2 : Avez-vous déjà abordé le sujet du don d’organe avec certains de vos proches (famille, compagne, compagnon, amis proches, etc.) ?

89 réponses

Question 3 : En ce qui vous concerne, êtes-vous favorable au prélèvement de vos organes post-mortem ?

89 réponses

Question 4 : Selon vous, le nombre de greffes d’organes effectuées chaque année en France se situe ?

89 réponses

Question 5 : Selon vous, le nombre de malades inscrits sur la liste nationale d’attente pour une greffe d’organe en France se situe ?

89 réponses

Question 6 : Selon la loi française, dans quel cas prélève-t-on les organes d’une personne en état de mort cérébrale ?

89 réponses

Question 7 : Concernant le don entre vivants (par exemple, donner un rein à un proche parent), vous diriez que vous êtes…

89 réponses

Analyse des résultats de l’enquête

Les réponses données par les étudiants en médecine de l’université Lyon I au questionnaire de France Transplant se sont avérées tout-à-fait satisfaisantes.

85,9% de ces étudiants se considèrent bien informés sur la transplantation et le don d’organes ; 88,4% ont eu l’occasion d’en parler avec leur entourage. Parmi eux tous, 90,6% sont personnellement favorables au don de leurs organes et environ 5% d’étudiants supplémentaires n’ont pas encore pris leur décision. 64% connaissent le nombre de greffes effectuées chaque année en France et 54,7% sont informés du nombre exact de patients en attente d’une greffe. Les conditions du don à partir d’un donneur en mort cérébrale ou d’un donneur vivant sont globalement connues par la grande majorité des étudiants, même si 23,3% estiment qu’ils pourraient avoir une formation plus complète sur le don du vivant.

Ces résultats ne sont pas directement comparables à ceux obtenus chez les étudiants en pharmacie car les étudiants en médecine étaient globalement plus âgés et avancés dans leurs études, avec donc une information plus approfondie sur ces sujets. Tous cependant appartiennent aux futurs professionnels de la santé et il est réconfortant de vérifier qu’ils seront un relais efficace pour la formation de la population générale. Ce n’est en effet que lorsque la grande majorité de nos concitoyens aura accès aux informations et à la réflexion approfondie en amont des circonstances du don que l’on verra régresser le nombre beaucoup trop élevé des refus de don.