Résultat de l’enquête sur le don d’organes auprès des étudiants en pharmacie de la Faculté de Lyon

Résultats de l’enquête sur le don d'organes auprès des étudiants en pharmacie de la Faculté de Lyon. 51 personnes ont répondu aux questions de France Transplant.

Echantillon : 51 personnes

Vous êtes

51 réponses

Quel est votre âge ?

51 réponses

Question 1 : Globalement, vous diriez que vous êtes…

51 réponses

Question 2 : Avez-vous déjà abordé le sujet du don d’organe avec certains de vos proches (famille, compagne, compagnon, amis proches, etc.) ?

51 réponses

Question 3 : En ce qui vous concerne, êtes-vous favorable au prélèvement de vos organes post-mortem ?

51 réponses

Question 4 : Selon vous, le nombre de greffes d’organes effectuées chaque année en France se situe ?

51 réponses

Question 5 : Selon vous, le nombre de malades inscrits sur la liste nationale d’attente pour une greffe d’organe en France se situe ?

51 réponses

Question 6 : Selon la loi française, dans quel cas prélève-t-on les organes d’une personne en état de mort cérébrale ?

51 réponses

Question 7 : Concernant le don entre vivants (par exemple, donner un rein à un proche parent), vous diriez que vous êtes…

51 réponses

Question 8 : Savez-vous qui peut-être donneur vivant pour une transplantation rénale en France ?

51 réponses

Analyse des résultats de l’enquête

Les étudiants en pharmacie de l’Université Lyon I ont fourni des réponses globalement satisfaisantes et encourageantes aux questions sur les greffes et les dons d’organes.

58,8% d’entre eux se disent bien informés sur le don d’organes ; 62,7% en ont parlé avec leur entourage ; 74,5% sont pour eux-mêmes favorables à ce don et 21,6% n’ont pas encore pris leur décision ; 49% connaissent le nombre de greffes effectuées chaque année en France et 56,9% connaissent le nombre de patients en attente d’une greffe. Les conditions du don en cas de mort cérébrale comme en cas de donneur vivant sont en bonne partie connues, même si dans ce cas du don entre vivants, 56,9% des étudiants se considèrent insuffisamment informés.

Les étudiants en pharmacie interrogés représentent une population jeune (86% avaient 23 ans ou moins) et ils appartiendront aux professions de santé. Il est réconfortant de constater leur bon niveau d’information, préalable indispensable à un meilleur degré d’information sur ce sujet de la population générale. On peut seulement suggérer à leurs enseignants de compléter dans le détail les connaissances sur les donneurs vivants d’organes et sur la nécessité, pour chacun, de déterminer le plus rapidement possible sa position personnelle sur le don car une décision est meilleure dans un moment de sérénité que dans une situation de crise.